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VRAI / FAUX

Démolition d’un mur en parpaings : Vrai-Faux

Saurez-vous retrouver les erreurs qui se sont glissées dans la situation de travail présentée ci-dessous ? À vous de jouer !

Dernière mise à jour le : 09/03/2023

Démolition d’un mur en parpaings : Vrai-Faux

© Lipsum

1. Risque de ruine de l’ouvrage
Sur ce type d’ouvrage, il est préférable de réaliser la démolition du haut vers le bas, car des parpaings peuvent se désolidariser du mur et chuter sur l’opérateur.

2. Absence d’étaiement provisoire
Le mur en parpaings et son chaînage en tête de mur constituent une structure porteuse pour le plancher. Il faut donc mettre en œuvre un étaiement provisoire du plancher avant de démolir le mur. Attention cependant à la présence de raidisseurs verticaux.

3. Démolition manuelle
Il faut privilégier des moyens mécaniques de démolition (engins de démolition télécommandés ou électroportatifs) pour limiter, voire supprimer les vibrations et contraintes posturales subies par l’opérateur.

4. Protections collectives incomplètes
Le garde-corps côté mur est absent. Au fur et à mesure de la démolition du mur, l’opérateur 
se retrouve face au vide.

5. EPI incomplets
Ce type d’intervention provoque des projections et des chutes de matériaux. L’opérateur doit être équipé d’un casque de protection.

A retenir

  • Je respecte le mode opératoire prévu pour la démolition.
  • Je travaille en hauteur à l’abri de protections collectives.
  • Je privilégie des équipements mécaniques limitant les vibrations.
  • Je porte les EPI adaptés.