Impact en prévention

    Cet outil destiné à décoffrer les planches de dalles béton permet de travailler depuis le sol sans avoir une position « bras levés », et donc de manière plus confortable pour le salarié. Grâce à sa conception déportée, il rend l'opération plus sûre en cas de chute de la plaque décoffrée.

    Risque principal
    Atteintes musculaires et articulaires
    Risque fortement diminué

    Un travail depuis le sol pour décoffrer les planches de dalles béton

    Ce décoffreur longue portée est un outil destiné au décoffrage des dalles béton. La portée maximale de cet outil est de 3, 35 m, ce qui permet de travailler depuis le sol sans avoir une position « bras levés » susceptible de provoquer des troubles musculosquelettiques au niveau de la coiffe des rotateurs (épaule). De plus, l’opérateur n’est plus positionné directement sous la dalle à décoffrer et n’a donc plus le dos courbé, posture défavorable qui peut également engendrer les problèmes de mal de dos.

    Grâce à son manche de 1,85 m de long, cet outil ne nécessite pas l’utilisation d’une plateforme individuelle roulante ou d’un autre moyen d’accès pour positionner la partie travaillante entre la planche de coffrage et la dalle béton, ce qui supprime le risque de chute de hauteur lors de la montée, de la descente ou pendant l’intervention. Enfin, le fait d’être déporté par rapport à la plaque à décoffrer rend l’opération plus sûre en cas de chute de celle-ci.

    Cet outil est composé d’un manche en aluminium et d’une partie travaillante en acier trempé. Cette partie travaillante possède, d’un côté, une surface de frappe pour le desserrage des écrous d’étais (suivant le type d’étaiement mis en place) et, à l’autre extrémité, un bord d’attaque affiné pour faciliter la pénétration entre la planche de coffrage et la dalle béton.

    6972 Cet outil de décoffrage ne nécessite pas l’utilisation d’une plateforme individuelle roulante, et limite les risques de chute de hauteur.

    Témoignage

    C’est génial, on force moins grâce au bras de levier. On travaille bras moins levés, c’est moins fatiguant.

    Mickaël Charoud - Chef de chantier entreprise Canedo Bâtiments

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