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Question-Réponse
26 février 2025Quel CACES® doit détenir un conducteur de mini-grue araignée ?
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Question-Réponse
26 février 2025Quelles sont les obligations vis-à-vis de l’opérateur qui accompagne le conducteur de la PEMP dans la plate-forme de travail ?
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Formations
26 février 2025Canal Seine-Nord-Europe : la région Hauts-de-France sollicite l’OPPBTP pour son Passeport Prévention
La région Hauts-de-France a confié à l’OPPBTP la mission de former les animateurs des organismes de formation à la sensibilisation Passeport Prévention CSNE (Canal Seine-Nord-Europe). Une initiative inédite qui permettra d'améliorer la prévention des risques professionnels sur l'un des plus grands projets d'infrastructure en France..

Droit de la prévention
26 février 2025Article R412-6 du Code de la route
I.-Tout véhicule en mouvement ou tout ensemble de véhicules en mouvement doit avoir un conducteur. Celui-ci doit, à tout moment, adopter un comportement prudent et respectueux envers les autres usagers des voies ouvertes à la circulation. Il doit notamment faire preuve d'une prudence accrue à l'égard des usagers les plus vulnérables.II.-Tout conducteur doit se tenir constamment en état et en position d'exécuter commodément et sans délai toutes les manoeuvres qui lui incombent. Ses possibilités de mouvement et son champ de vision ne doivent pas être réduits par le nombre ou la position des passagers, par les objets transportés ou par l'apposition d'objets non transparents sur les vitres.III.-Le fait, pour tout conducteur, de contrevenir aux dispositions du II ci-dessus est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la deuxième classe.IV.-En cas d'infraction aux dispositions du II ci-dessus, l'immobilisation du véhicule peut être prescrite dans les conditions prévues aux articles L. 325-1 à L. 325-3.

Jurisprudence
26 février 2025Poste à risque et consommation d’alcool : licenciement pour faute grave
Dans un arrêt du 26 février 2025, la Cour de cassation confirme le licenciement pour faute grave d'un salarié qui s'était présenté sur son lieu de travail en état d’imprégnation alcoolique avec un taux de 0,28 milligramme par litre d'air expiré et qui avait travaillé dans cet état alors qu’il occupait un poste à risque sur un chantier de meulage.