296 Chantier Rouen Ascenseur b05

Ascenseurs

Trois ascenseurs, monte-charges et de personnes, desservent les différents paliers, depuis le rez-de-chaussée jusqu’à 123 mètres de hauteur pour la prochaine phase de travaux.

296 Chantier Rouen Base vie e04

Base vie

En plus de celle située en rez-de-chaussée, une seconde base vie a été installée sous la flèche, à 55 mètres de hauteur à l’intérieur de la tour Lanterne. Elle inclut une zone propre-sale avec douche pour la décontamination au plomb et un vestiaire-sanitaires séparé femme/homme.

296 Chantier Rouen Echafaudages (f09)

Échafaudages

La partie échafaudage comprend la zone de travail bâchée (partie haute), la sapine de secours et la structure supportant les flux d’énergie (eau, ventilation et électricité) ainsi que la gaine de récupération des eaux polluées et matériaux contaminés.

Adapter le temps de travail
L’entreprise Lassarat a dû réfléchir aux problématiques telles que le dimensionnement et le stockage des matériels nécessaires à décontamination de l’air, l’acheminement des matières premières, le port d’EPI spécifiques plomb et l’environnement de travail des compagnons dans la zone de retrait. Le temps de travail a été adapté à la pénibilité des postures, à la température et à l’humidité.

Antoine Carlier, chargé d’affaires adjoint, Lassarat

296 Chantier Rouen Gestion des déchets f05

Gestion des déchets

Deux aspirateurs avec filtre « à déchoquer » pour les poussières plombées sont installés au niveau de la zone technique (à 38 mètres de hauteur) où sont également récupérés les eaux de lavage et le sable usagé.

296 Chantier Rouen IUO

Interventions ultérieures sur ouvrage

Des points d'ancrage pour harnais sont positionnés sur la flèche dans la perspective des interventions ultérieures sur ouvrage. Ces points d’ancrage serviront à des interventions ultérieures sur l’ouvrage lors de futurs travaux d’entretien.

Aucune coactivité entre les entreprises
Le phasage du chantier est conçu pour qu’il n’y ait aucune coactivité entre les postes de décapage des surfaces par les peintres et la dépose et repose des éléments par les métalliers. Des tests de lingettes sont effectués à échéances régulières après le décapage puis la dépose des pièces plombées pour que les compagnons puissent travailler en toute sécurité. L’autre point d’attention concerne les accès et les circulations. Les réunions bimensuelles de chantier avec la maîtrise d’œuvre sont l’occasion de modifier, d’adapter ou d’améliorer les conditions de travail.

Guillaume Nida, CSPS pour OPC Normandie

EPI

Par-dessus leur tablier en cuir de soudeurs, les métalliers portent une combinaison de protection contre la contamination au plomb.

296 Chantier Rouen EPI (d04)
Une restauration du bas vers le haut
Ce chantier est soumis à un protocole spécifique pour les accès et l’organisation des postes de travail. Comme il fallait assurer la remise en état des structures inférieures avant d’intervenir au-dessus, la restauration s’échelonne du bas vers le haut en déplaçant l’échafaudage « tambour » nécessaire au confinement de la zone de travail en condition plomb. Au regard de la configuration de l’édifice, il était impossible de réaliser un échafaudage toute hauteur bâché. La prise au vent aurait mis en péril l’échafaudage et la flèche.

Richard Duplat, architecte en chef des Monuments historiques

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