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    Méthodologie

    Habituellement mises en œuvre sur des chantiers d’ouvrages d’art (tabliers de pont), les tours d’étaiement auto-stables (Mills) servent ici à traiter les avancées en façade. Cette adaptation d’un mode opératoire permet de reprendre de grandes charges sur les portes-à-faux du bâtiment à des hauteurs de deux ou trois niveaux. Le dispositif permet aussi de monter en sécurité sur ces débords de façade au moment de la pose de poutres et du coffrage de dalles.

    Ergonomie

    Un podium de lavage a été installé sur le chantier pour le nettoyage des bennes à béton en fin de poste. Le risque de chute de hauteur est supprimé par l’usage d’une passerelle d’accès sécurisée (pas besoin d’escalader), qui offre également un confort pour l’opérateur (travail à hauteur d’homme). Lors du lavage des goulottes de toupies, un bac de rétention permet la récupération des eaux usées par filtrage.

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    Montage en sécurité

    Dans le cadre du renouvellement de son matériel, l’entreprise Parietti a investi dans des tours d’étaiement (Hussor Erecta) incluant un système de garde-corps et de montage en sécurité. Le principe est simple : le garde-corps du niveau supérieur est monté par l’opérateur depuis le plateau du niveau inférieur. « L’échelle fait office d’élément de jonction au moment du montage de l’embase, explique Thomas Boucland, ingénieur projet et conducteur de travaux. Une fois le garde-corps posé, le plateau est ensuite positionné à hauteur d’homme, de façon à ce que l’opérateur soit toujours dans l'emprise des protections collectives. »

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